Le commencement de la fin

j'étais partie à l école ce matin, un jour normale en soi semble t il, cependant j étais bien loin de me douter que j allais dans doute vivre le pire jour de ma courte vie, j avais pourtant cru le vivre en croyant perdre mon père pourtant, en apprenant ma conception et pourtant on se relève et on passe à autre chose mais ce coup ci est ce que ce sera le cas ? J étais en train d étudier, j étais un élève studieux, j écoutais très sincèrement ce que ma prof disais, prenant mes notes et réfléchissant déjà a ce que je devais faire pour obtenir des notes excellentes. Je voulais devenir médecin après tout donc il fallait que je sois le meilleur pas simplement un bon élève. Quand je vis ma proviseur et mon père arriver devant la porte je compris bien vite que mes plans allaient changer dans la seconde, je me levais pour les rejoindre, saluant ma proviseur et regardant mon père. J avais bien compris que ça n allais pas mais je ne connaissais pas l ampleur des degats

- salut papa, ça va ? Tu n as pas l'air

une mission surprise ? Ça ne serrais pas la première fois. Le coup de massue arriba rapidement, mauvaise nouvelle, accident, maman, hôpital. Je crois que je n avais pas entendu le reste. Il parlais de l hôpital et du fait que je veuille y aller, j acquiessais

- tu as bien fait de venir me chercher, puis comme ça on sera à côté d elle quand elle se réveillera

je venais faire un câlin à mon père, oui je comprenais ce qu il se passais mais j étais du genre tellement optimiste, ma mère m avais élever en me disant que rien n'est jamais terminer avant la fin. Et puis les médecins ça ne meurs pas si ? Les maman encore moins alors une maman médecins ce devrait être immortel. Nous prenions la directions de l hôpital, j étais silencieux sur la route, pensif mais ne semblant pas réellement inquiet. Une facade ? Un réel optimisme ? je ne savais pas vraiment pour le moment mais j allais bien vite découvrir à mes depends

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Le commencement de la fin

Je voulais devenir médecin depuis que j'étais enfants, vous êtes loin d'imaginer le nombre de revues et de livres de médecine que j'ai lu, je commençais a réellement m'y connaitre alors ma première réactions quand mon père m'annonça que ma mère avaient eu un accident c'était de me remémorer toutes les complications de ce genre d'accidents. Ma mère m'avais toujours appris a me battre, a ne jamais abandonner, j'avais un père soldat et une mère qui sauvais des vies dans un hôpital, tout deux des héros a mes yeux. Je n'avais pas été élever pour abandonner alors je partais optimiste, me disant juste qu'on serais a ses cotés a son réveil. J'ai une mémoire photographique, je retiens tout alors actuellement mes revues médicale défilais devant mes yeux, je ne disais rien en voiture car je réfléchissais a tout ce qu'ils auraient fait a ma mère jusqu'à mon arrivée, évidement je fonçais directement a sa chambre. Je voulais lui tenir la main et la soutenir, c'est ce que je fis directement, je ne pleurais pas, j'étais pas comme ça , j'entendais de loin ce que le médecin disais a mon père. Vous savez ce qu'est une mort cérébrale ? Ils sont aussi appeler coma de type IV ou coma dépassé, c'est un état végétatif irréversible, les fonctions cérébrales cessent de fonctionner, il ne faut généralement peu de temps avant que les organes cessent de fonctionner seul, on peux maintenir ces facultés grâce a une machine mais les organes risquent bien souvent de se détériorer avec le temps. C'était le sujet d'une des revues de ce mois ci, vous savez quel est l'étape suivant cela ? une personne qui viens vous demander ce que vous souhaitez faire des organes de la personne. Voila ce que le fan de médecine pensa quand son père lui annonça que sa mère ne se réveillerai pas. Vous savez comment Andrew a réagis ? il a refuser

- Non, c'est pas vrai, regarde papa, la machine a coté, ca donne les battements de son cœur, il y a de l'activité papa elle se réveillera, il faut juste lui laisser le temps de se reposer tu sais

je ne lâchais pas ma mère, je serrais sa main, comme je vous l'avez dit on nous laissa attendre un moment mais l'on vint nous demander ce que l'on voulais faire des organes, je regardais le médecins en souriant, pas une once de tristesse dans les yeux

- Ma mère était médecin elle aurais voulu les donner mais ca sert a rien d'en parler elle vas se réveiller alors sortez de sa chambre et laissez la dormir

Une part de moi se rendais compte que c'était un mécanisme de défense mais en même temps je n'allais pas accepter que ma mère soit morte, je regardais mon père, mon sourire ayant disparu, je ne pleurais pas, pourtant je réalisais la situation, je peux vous décrire ce qui se passe dans son organisme mais je le refuse tout simplement

- Elle vas se réveiller d'accord ? Les jumelles ont besoin d'elle, toi et moi aussi, elle vas pas nous lâcher comme ca, regarde, son cœur bat encore, son cœur bat encore papa, on a pas le droit de l'arrêter

Je lui tenais la mains, répétant en boucle que son cœur battais encore. Vous connaissez le nombre de cas qui se sont réveiller de ce genre de coma ? Aucun, c'est impossible et pourtant je répétais en boucle que son cœur battais encore, sachant parfaitement que c'était uniquement grâce a une machine, je voulais juste pas l'admettre

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Le commencement de la fin

Je regardais ma mère et je savais que ca n'allais pas, ça se voyais mais je ne l'acceptais pas, la médecine fait des miracles, on voit régulièrement des miracles que personnes ne peux expliquer et je suis certaine que ca serais le cas pour ma mère, elle avais passer tant de temps a sauver des vies que je n'arrivais pas a comprendre pourquoi on voulais lui prendre la sienne, mon père était venu me dire qu'elle ne se réveillais mais je lui disais que c'étais faux, la machine montrais encore une activité cardiaque, je savais ce qu'il voulais dire par elle ne se réveillerai pas, donc je savais que l'activité était du aux machines

- Je sais papa, je sais ce qu'est une mort cérébrale, j'ai appris le processus il y a peu et je sais ce qu'il vas se passer ensuite mais je refuse, il y a des miracles en médecine, maman était un médecin alors on a pas le droit le lui prendre sa vie, trop de gens ont encore besoin de soins

Comme je vous le disais on vint nous parler de ses organes, évidement qu'elle aurais voulu les donner mais les donner reviendrais a accepter qu'elle soit morte et je refusais ça, personne ne tuerai ma maman, mon père faisais sortir le médecin, je repetais en boucle que son coeur battais et qu'on avais pas le droit de l'arreter, on avais pas le droit de tuer ma maman, il venais m'expliquer la situation, je la comprenais et je savais qu'il avais raison mais je pouvais pas admettre que ma mère soit morte, je venais dans ses bras, je laissais couler quelques larmes, soupirant, je savais que je devais l'accepter mais je ne voulais pas, on allais quitter cette chambre et elle rentrerai a la maison ce soir parce que c'est juste un mauvais rêve et je sais comment me réveiller. Je reculais de mon père et venais m'allonger sur le lit contre ma mère

- On peux pas la laisser seule papa, elle a besoin de nous , elle doit avoir peur, les organes peuvent survivre un peu alors s'il te plait attend encore un peu je veux rester avec elle, je veux pas qu'elle soit seule

Je me collais contre elle pour pleurer, 16 ans c'est pas un âge pour perdre sa mère, encore moins pour mes sœurs, je relevais légèrement la tête vers mon père

- on a pas le droit de la laisser partir, les jumelles se souviendrons même pas du visage de leurs mère ni de sa voix, on a pas le droit de la laisser partir papa, je t'en supplie....

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